An other G-Day in Paradise (Part 2)
13h30. Les matinées se suivent et les après-midi ne se ressemblent pas. En tant qu’administrateur Google Workspace, je suis amené à faire vivre mon réseau et surtout à emmener mes nouveaux collaborateurs dans cet univers […]
An other G-Day in Paradise (Part 2)
13h30. Les matinées se suivent et les après-midi ne se ressemblent pas. En tant qu’administrateur Google Workspace, je suis amené à faire vivre mon réseau et surtout à emmener mes nouveaux collaborateurs dans cet univers qui leur est souvent inconnu. Cela tombe bien, car après avoir digéré mon délicieux repas, je dois former un nouvel arrivant.
Une formation Google Workspace, c’est pour moi une source intarissable de partage, de découverte mais aussi d’apprentissage. Bien souvent, il faut déjà démicrosoftiser notre futur collaborateur. Et le sensibiliser tout doucement à l’univers Google. Oubliez les Word, Excel, Outlook et bienvenue dans un monde d’ergonomie, de partage et de simplicité. J’aime m’intéresser à l’Homme avec un grand H et son passé numérique. J’aime qu’il me raconte comment il a travaillé numériquement parlant. La formation commence en réalité ici. Il faut savoir adapter son discours en fonction de notre interlocuteur. Google est réellement un bonheur à faire découvrir.
“Donc, tu as un compte Gmail”. Transition assez simple qui me permet bien souvent de rajouter les fonctionnalités non présentes en version grand public mais surtout de se concentrer sur l’essentiel. Nous sommes d’accord : pas sur le GROS bouton “nouveau message”. Quand je parle d’essentiel, je parle par exemple de la barre de recherche et pas des libellés (question de points de vue), je parle de rédaction intelligente, je parle du “+nom de la personne à citer” dans un mail ou je parle des pièces jointes à insérer ou non depuis le Drive. Des choses utiles au quotidien.
On passe ensuite et à mon goût trop vite sur “Contacts”. Oui, je m’expliquerai dans un autre article. Bien trop de choses négatives à dire pour une fois à ce sujet. On enchaîne sur l’Agenda et son partage. J’aime insister sur les différents niveaux de partage qui sont pour moi un acte primordial. J’insiste aussi sur le fait aussi d’indiquer tous ses rendez-vous dessus car comme dirait Hannibal de l’Agence Tout Risque, j’aime quand un plan se déroule sans accroc. Le cigare en moins. Oui, car prendre comme référence un outil qui n’est pas rempli de façon exhaustive, est totalement contre-productif. Mais cela arrive encore régulièrement. Oui.
Enfin, on continue et finit avec le volet Drive et suite bureautique Google. On insiste sur le rôle d’un Drive et d’un Drive partagé. On explique pourquoi Docs et pas Word. On lutte pour expliquer pourquoi Sheets et pas Excel. On démontre, on incite mais on ne force pas. Telle est ma philosophie. Pour les plus bornés, je leur explique que désormais on peut ouvrir, modifier et enregistrer de la suite Office Online “ça, c’est vachement bien”. Alors oui, c’est bien. Mais ce qui est mieux, c’est de se pencher sur GSuite, sans a priori s’il vous plaît, et de se rendre compte qu’Office c’est beau mais c’est quand même cher et que l’on peut faire mieux sans surcoût. À la fin, le “fusion et publipostage de documents” vont vous coûter plus cher qu’un aller-retour à Miami, les dauphins et les plages en moins. Bof.
Qui dit nouveau collaborateur, dit souvent déploiement de terminaux mobiles. Le lifting récemment proposé par la firme de Moutain View, illustre parfaitement la simplicité que nous avons à gérer la vie professionnelle de nos utilisateurs. En sélectionnant le compte utilisateur correspondant, j’ai tout ce qui est rattaché à ce dernier. Je peux renouveler un mot de passe ou encore créer un alias à tout moment. Ici en l’occurrence, j’ai juste à approuver l’utilisation de son mobile après avoir téléchargé l’application Device Policy sur le terminal. Après ceci, l’univers professionnel est automatiquement transposé dans le téléphone. Je garde de plus, un œil sur les connexions et surtout en cas de perte, je peux effacer les données à distance. Une formation finit tout le temps par un sourire et je peux souvent lire dans les yeux de mon nouveau collègue, une envie d’en découdre rapidement avec cette nouvelle créature. Fascinant.
Ma formation terminée, je dois présenter lors d’une réunion mon projet commencé ce matin. Sylvain, mais comment tu vas faire, tu n’as pas la suite Office et surtout tu n’as pas le grand PP, le compagnon ultime de vos réunions, PowerPoint ? Aïe. Comment je vais faire des transitions à la James Cameron ? Comment je vais être nommé dans la catégorie “Court-métrage” à Cannes sans lui? Difficile en effet. Sachez quand même qu’il existe Slides qui fait de plus en plus un travail remarquable à ce sujet. On fait une présentation professionnelle, pas le remake d’Avatar. Économisez votre temps pour le contenu, pas pour le contenant. J’arrive donc à présenter mon travail réalisé sous Sheet puis sous Slides. C’est beau, c’est propre et surtout cela a été simple pour moi. L’Explorer m’a mâché le travail à tel point que je n’avais plus qu’à me concentrer sur l’analyse des chiffres. C’est fou la vie en fait. Mince je crois que la petite croix verte est en PLS. Ouvrez-lui Windows, qu’elle respire le bon vent de la technologie.
Après ma réunion terminée, sur ma journée le rideau est tombé
Par une matinée agréable, elle avait commencé
et grâce à GSuite elle m’avait permis d’avancer.
De part son ergonomie et sa simplicité j’ai pu me sublimer
et toutes ces aventures, je peux vous compter.
N’oubliez pas de garder intact votre curiosité et je vous promets que
dans de nouvelles aventures, nous allons bientôt nous retrouver.
It’s just an other G-Day for you and me in paradise.
Heartily
Sylvain
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